Le déclin du taux de participation aux
quatre dernières élections fédérales au Québec, qui est passé de 77 % à 60 % (y
compris les bulletins rejetés le 28 juin dernier), a fait couler beaucoup
d'encre. Des chercheurs et des observateurs en attribuent la raison tantôt à
l'apathie des jeunes, tantôt à la désaffection des partisans. Qu'en est-il
réellement?