(Court message envoyé au président du PLC)
Je
tiens par la présente à communiquer deux suggestions au Conseil national
d’administration et-ou au comité qui sera « mis sur pied pour tenir
compte des lignes directrices du scrutin pour l'élection d'un chef et des
dépenses s'y rattachent », dont vous faites allusion ci-dessous. Veuillez
s’il vous plaît acheminer ces suggestions à qui de droit.
1. Limite
à l'endettement: Compte tenu que plusieurs anciens candidats à
la chefferie en 2006 ont encouru des dettes imposantes et ont mis plusieurs
années à les éponger, ou continuent de tenter de le faire à ce jour, je suggère
fortement de limiter à disons 100.000$ le montant global d’endettement qu’un
candidat puisse encourir à n’importe quel moment. Ce montant devrait suffire
pour démarrer une campagne à la chefferie et les collectes de fonds s’y
rattachant. Cette limite aidera à diminuer les difficultés de remboursement
encourues et leurs effets pendant plusieurs années sur les collectes de fonds
du parti et de ses associations à titre de compétiteurs pour des fonds limités.
Qui plus est, cela réduira le risque que les
candidats soient perçus comme étant à la solde d’individus bien nantis ou de
corporations prêteurs de fonds (avec ou sans intérêts), d’autant plus si vous
limitiez la provenance de ces prêts à des individus seulement et non des
corporations, et que la limite des prêts individuels ne dépassait pas celle d’Élections
Canada pour les contributions à de telles campagnes (1000$).
2.
Nombre de candidats
et de candidates : Étant donné que le
parti ne semble pas avoir un candidat pressenti et consensuel à l’heure
actuelle, le parti devrait encourager la participation de candidats et de
candidates moins bien connus à se lancer dans la course et à faire leur preuve.
Ainsi le « prix d’entrée » devrait être beaucoup moins élevé que
celui établi lors de la course en 2008-2009. Cependant, d’aucuns sont d’accord qu’il
semblait y avoir trop de candidats en 2006 lorsque 13 membres ont posé leur
candidature, ce qui rendait les débats télévisés ou en ligne onéreux (en plus
des problèmes d’endettement ci-haut mentionnés).
Afin de surmonter ce problème quantitatif, différents
scénarios de débats pourraient être envisagés afin de permettre plus de temps
de parole, tel qu’un nombre accru de soirées de débats avec un nombre restreint
de cinq candidats choisis de façon aléatoire, pour que tous à la fin puissent
avoir débattu convenablement l’un l’autre. En plus ou au lieu de ce scénario,
je préfère grandement que les membres puissent voter en ligne ou par téléphone
à chaque semaine (ou deux semaines ou mois, dépendamment du nombre de candidats
en lice) en fin de campagne pour le candidat de leur choix, éliminant ainsi des
débats (ou de la course si permis d’après nos nouvelles règles) le candidat ayant
obtenu le moins bon score et rendant les débats d’autant plus dramatiques, intéressants
et instructifs avec un nombre de participants de plus en plus restreint.
Merci,
R
Robert
David
Ancien
candidat